Cela fait quelques temps que le courant entre Marguerite, la cinquantaine, et Andréa, passe très mal. Depuis le jour ou elle ont eu une violente altercation au supermarché.

Ce jour là, Marguerite avait traité Andréa de sale black, et avait juré de s'occuper d'elle.

Andréa est une africaine âgée d'environ soixante ans, qui doit peser dans les quatre vingt kilos. Une vraie force de la nature. Quant à Marguerite, elle doit faire le même poids.

-Vous allez voir la rouste que je vais lui mettre un jour, dit Marguerite en s'adressant aux voisins. Non mais, je ne vais pas me emmerder par une connasse de black.

Un après midi, Marguerite sort de la douche, enfile un peignoir, et noue une serviette sur la tête. Puis, décidé d'en découdre, se dirige sure d'elle, chez Andréa. Une vive altercation s'en suit. Les deux mégères en viennent aux mains, roulent au sol. Soudain, des cris fusent.

-Tu as voulu me provoquer, tu vas voir la raclée que je vais te mettre salope, gronde Andréa.

-Non, pas ça , crie Marguerite, ne quitte pas mon peignoir, je suis toute nue dessous...tout le monde va voir ma petite chatte...

Les gifles s'abattent sur les joues et les fesses blanches de Marguerite.

-Ecarte tes jambes que je vois ta fente, J'ai envie de te mettre un doigt dans la chatte.

-Mais regarde, pleure Marguerite, elles sont écartées, tu peux le tremper si tu veux.

Les curieux, attirés par les cris, voient Marguerite, entièrement nue, dominée par Andréa.

-Mais que t'arrive-t-il Marguerite, demande une voisine.

-C'est Andréa, elle trempe ses doigts dans ma chatte...elle va être toute mouillée...

-Tu vas voir ce que je vais lui faire à ta chatte, connasse, je vais lui arracher les poils.

-Non, supplie Marguerite, pas ça , ça fait mal...je te demande pardon....

-Je veux que tout les gens voient ce que je te fais, dit Andréa en la tirant vers la clôture.

Andréa arrache les poils de la chatte un par un. Marguerite hurle de douleur. Pour l'humilier d'avantage, de temps en temps, Andréa glisse un doigt dans la chatte ou dans le cul. Calmement, la black admire son oeuvre.

-Voila, j'ai fini salope...a no, il en reste un.

-Non, s'il te pait, pas ça...c'est pas un poil, c'est mon clitoris...ne l'arrache pas...

-Tu préfères que je te le gratte, hein? Sale pute. Tu vas voir comme les blacks s'amusent avec la petite chatte des françaises.

Andréa sourit de voir Marguerite dans cet état, son entre jambe tout rouge. Elle décide de jouer avec elle, elle lui branle la chatte, doigte son petite bouton qu'elle a pris soin de décalotté. Elle le fait rouler entre ses doigts.

-Ouah, regardez comme elle mouille cette salope, ne me dis pas que tu te régales...

-Arrêtes, pleur Marguerite, sors tes doigts...ah...ah...si j'aime quand on me branle...

-Salope, tu aimes ce que je fais à ta petite chatte, vicieuse, vas-y, laisses toi aller...fais voir comme tu cries quand tu jouis...

Les curieux, rassemblés contre le grillage, éclate de rire en voyant Marguerite se tordre comme ver sur la pelouse. Ils assistent à l'orgasme de la grosse femme.

-Regarde la grosse comme elle se régale, dit une femme...la salope, sa chatte est toute mouillée, poursuit une autre...elle doit aimer se faire branler...et son clito, tu as vu comme il est gros, il est énorme, dit encore une voisine.

Encouragée par l'assistance, Andréa continue de jouer avec la chatte de Marguerite, entièrement soumise, et qui en est à son troisième orgasme. Son clitoris a doublé de volume. Andréa le fait tourner entre ses doigts, ce qui provoque des gémissements de plaisir à Marguerite.

Pour finir, Andréa la couche sur ses jambes, et lui administre une cinglante fessée.

Jugeant que l'humiliation avait assez durée, Andréa libère Marguerite.

-Ecoute bien, dit Andréa. A partir de maintenant, je veux que tu viennes me voir deux fois par semaine, toute nue, et ta chatte bien épilée. Et je veux que tu me supplie de m'amuser avec toi, de bien te branler, de bien doigter ton petit bouton. Et si tu n'es pas sage, je te mettrai toute nue devant tout les voisin, et te mettrais une bonne raclée

Marguerite traverse la cour en courant.

-Mais, ou vas-tu si vite Marguerite, demande une voisine.

-Cette salope d'Andréa a arraché tous les poils de ma chatte, me l'a branlée...

-Et alors, t'as pas aimé, poursuit la voisine.

-Oh que si j'ai aimé...ma petite chatte était toute mouillé, elle a gratté mon petit bouton... elle m'a fait jouir trois fois. Je vous en prie, ne dites rien à mon mari.